Dans le dernier épisode de ‘Faut que je vous raconte’, Johann Roques nous emmène dans une balade poétique à travers le métro parisien. Il y rencontre Georges, un personnage anonyme, mais non moins fascinant, qui lui fait réfléchir sur la vie, l’art et les histoires qui se cachent derrière chaque visage inconnu.

Il partage avec nous un moment particulièrement touchant: un père et son fils en route pour fêter l’anniversaire de leur maman et femme dans un hôpital. Ce simple moment, si banal et pourtant si chargé d’émotion, nous rappelle que chaque personne a une histoire à raconter, aussi ordinaire soit-elle.

Johann nous rappelle que ces histoires anonymes sont partout autour de nous, et qu’elles méritent d’être racontées et célébrées. Elles sont le reflet de notre humanité, la preuve que nous sommes tous connectés de manière invisible.


3 réponses à “Et si les histoires anonymes étaient notre plus grande source d’inspiration?”

  1. Avatar de Angeline
    Angeline

    Merci, Johann . . .

  2. Avatar de Geoffray
    Geoffray

    Salut Johann. Les histoires anonymes de gens, d’ un lieu de passage ou d’ une radio libre peuvent être inspirante ou rassurante par rapport a son propre quotidien. elles peuvent donner des idées de nouveaux hobbies, des envies quelconque ou rappeler des souvenirs personnels tantôt joyeux ou carrément triste. On peut aussi se dire qu’ il y a pire que sa propre vie ou parfois envié une personne pour ce qu’ on a pas ou plus. Les histoires des anonymes peuvent intéressé, passionné, attristé ou alors agacé mais elle laissent toujours une trace et un avis.
    C’ était tout l’ intérêt des « mots (maux) du soir ».
    En espérant te réentendre bientôt en d’ autres lieux sous une autre bannière…

  3. Avatar de Sylvie HEREM

    Salut Geoffray,
    Très heureuse d’avoir retrouvé la voix de Johann Roques sur France bleu pour l’été dans Décibel de 19h à 20h.
    Ce ne sont pas les mots du soir mais ça m’a l’air très chaleureux dès la 1ere émission avec en prime de l’excellente musique.
    Bonne écoute donc !
    Sylvie

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